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Interview avec Alisia Follet, présidente des partenariats d’excellence

 

« Le rôle de président m'émerveille ! »

 

Plus que jamais, l’égalité des chances est un enjeu pour tous, c’est dans cette optique que Les partenariats d’excellence s’engagent en proposant pléthore de services.

Retrouvez aussi son interview sur le compte Instagram admisseur IMT-BS (admisseur_imtbs) !

 

Le parcours de la présidente

« Avant même de rejoindre IMT-BS je me suis investie, je suis allée à la SEI sur le stand LPE et je leur ai littéralement dit « Je vous aime trop je veux trop intégrer LPE, je paye combien ? » C’est encore mieux car c’était gratuit, ce n’est pas dans les valeurs LPE de devoir payer. Je VOULAIS LPE, je pensais LPE même pendant les oraux et le rôle de président m'émerveille, c’est une personne qui, avec son équipe,  supporte tout sur ses épaules. Être la référente c’est être l’image de l’association, je dois aussi m’occuper de la signature des papiers […] J'ai aussi postulé responsable communication au cas où. J’ai adoré le Global village, j’ai adoré la nourriture espagnole proposée, mais comme j’ai du mal avec les épices je n’ai pas pu tout goûter. Même la JNC (Journées nationale des Cordées) est marquante, c’est super humainement mais assez épuisant car à ce moment on est entre deux mandats. On gère une centaine d’élèves, alors mois qui aime le contact humain… J’ai tout aimé. Pour la suite, je dois vous expliquer un petit truc : il y a 2 pôles, cordées et citoyenneté. Le deuxième gère tout ce qui se passe sur le campus comme le Global Village quand le premier fait le tutorat, sorties scolaires...»

 

Le Global village

« En fait, n’importe qui peut représenter son pays, sa culture, n’importe quelle culture ce n’est pas forcément la sienne. Quand quelqu’un veut, il doit nous voir pour avoir des fonds pour leur stand ils doivent signer un contrat avec nous. Cette année on avait beaucoup de stands et encore on n’a pas encore tout qui est représenté, comme l’Allemagne ou le Portugal. »

 

SDO

« C’est sur 3 jours qu'on va dans les collèges et lycées formées à l‘orientation. Bien sûr on est formé en amont sur post bac et entrée en seconde et le reste on rencontre des pro/ alumnis, dès le premier jour les élèves échangent avec nous sur leurs doutes. Au lieu de faire un amphi assez barbant on veut être ouvert interactif, les élèves sentent qu’on s’inquiète pour eux. »

 

Les tutorats

« Chaque tutorat est différent, j’ai eu de la chance quand j’ai eu mon groupe, j’ai des élèves très dynamiques avec des profils très différents. L'une était nonchalante et l’autre assez stressée. En tant que présidente, malheureusement j’ai dû arrêter le tutorat, j’avais un poste volant. Cette année ça commencera début octobre, la LPE forme les groupes, au début on veut surtout apprendre à se connaître, se mettre en confiance. Au début je parlais surtout de ce que je voulais faire, en fait, LPE fait aussi des fiches métiers alors j’avais sondé les fiches pour voir si on avait quelque chose qui les intéressait. Avec les membres LPE à 16H50 on part tous ensemble, je fais les formalités et enfin on s’installe dans les salles.

Les matières où l'on aide c’est surtout :  anglais, français, math, parfois histoire-géo. Souvent ils ne savent pas trop comment répondre, ils comprennent mais ils ont du mal avec les consignes, comme pendant les études de textes. Au-delà de travailler avec les élèves, on doit aussi mettre en confiance les bénévoles, surtout qu’ils ont de pas savoir. Par exemple, une fois j’ai dû aider une élève à utiliser un compa et un rapporteur mais je n’en ai pas utilisé depuis la 4e. J’ai bien ri en plus c’était un peu nostalgique…»

 

Journées nationale des Cordées

« Les écoles choisissent entre 20 à 25 personnes pour atteindre 100. Les activités sont choisies par nos soins, on a eu l’atelier marketing. On doit croiser les 2 établissements. Là, il devait créer un produit futuriste en tirant un sujet au hasard.Avec Hackademint c’était de vulgarisation, par petit groupe avec un test sur la sécurité, les bases en somme. On les a amenés dans le fablab pour graver leur établissement avec une petite citation, ça faisait un petit souvenir même pour les proviseurs. Le kit lycée se fait sur les deux mandats. On a une convention avec Casio pour avoir des calculatrices gratuites. Le fondateur de LPE est même venu. On a l’essentiel pour l’entrée au lycée, pour l’instant le dispositif est réservé au Collège Paul Éluard. On a déjà un partenariat avec Deloitte.»

Interview avec Loucas Brémond, président AbsINThe